MUSIQUE DU 18 EME
mardi 05 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
Bruno Thieblemont group est une des rares formations ou la place de l’instrument harmonique est prise par le vibraphone, rappelant ainsi les ensembles formés dans les années 60 ...
« Septième couleur est du jazz européen moderne, bien écrit, intelligemment construit, joué avec conviction et beaucoup de sincérité, sans aucun des artifices dont se pare volontiers le jazz qui a peu d’inspiration » (Michel Bedin. Prestige audio vidéo)
mercredi 06 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5 €
Salia Kouyaté : Chant et guitare, Julien Dupont : basse, Elvis Chedal - Anglay : Batterie
Salia Kouyate
jeudi 07 mai 2009 - 20 h 30 - Entrée: 1 euro
TIWITINE, ma naissance, rassemble autour de Sidi des artistes touaregs, burkinabés, julas, arabes, français, développe un groove unique, véritable fusion des genres, porté en tamashek. La rythmique est puissante et traditionnelle, inspirée par la danse
Sidi Ag Issa vient du Mali, Boni, un village de culture peul, arabe et touareg près de Tombouctou. C'est un grand danseur et certainement un futur footballeur professionnel lorsqu'à douze ans, commerçant dans une petite échoppe, il écoute à la radio la guitare d' Ali Farka.
Le «pays des hommes intègres» fini sa révolution... et le désert souffle sa rébellion. La guitare ishumar s'écoute en cachette... et se joue sur le front. Sidi rejoint les rangs et à 19 ans, compose sa première chanson, Te Wete, portant déjà une vision folk des ballades touaregs. Il se frotte à la jeunesse imujar, connait l'exil, les camps de réfugiés et le ghetto.
Au Burkina, avec son groupe Imnas ou en solo, Sidi échange avec Nazer Adams, Papa Rasta, Gwod, fait des concerts au Zaka, au Jardin de l'amitié, côtoie Abine-Ibine et Kedo.
Ouaga,Tombouctou, Niamey, Tam, toujours prêt à partager son feeling, il voit du pays et débarque en France. A Paris, il connait vite la Flèche d'or, l'Olympic, la Fête de l'Huma...
TIWITINE, ma naissance, rassemble autour de Sidi des artistes touaregs, burkinabés, julas, arabes, français, développe un groove unique, véritable fusion des genres, porté en tamashek. La rythmique est puissante et traditionnelle, inspirée par la danse elle même. Les mélodies sont pleines de vie et de couleurs, les arpèges tranchants comme une Takouba.
TIWITIN le groove Touareg
TIWITINE, ma naissance, rassemble autour de Sidi des artistes touaregs, burkinabés, julas, arabes, français, développe un groove unique, véritable fusion des genres, porté en tamashek. La rythmique est puissante et traditionnelle, inspirée par la danse el
jeudi 07 mai 2009 - 19H30 - Entrée: 5 euro
De Guy Tirolien à Birago Diop, en passant par Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor, le « griot du béton » revisite, à sa manière, des écrits représentatifs de la pensée noire, placés sous le signe de la révolte. Tous les jeudi (relâche le 21 mai)
Retour sur un spectacle inspiré du mouvement de la négritude au moment où l'on célèbre le centenaire de la naissance de l'un des fondateurs du mouvement, Léopold Sedar Senghor
Par Malaïka Coco
Amadou Gaye monte sur les planches face à un public intrigué et finit sa prestation sous des tonnerres d’applaudissements. « Négritudes » touche avec succès le public parisien. Du 20 septembre au 1er octobre, le Local de Belleville a affiché complet. Le comédien a su donner vie à des textes emblématiques de la littérature afro-antillaise. Qui mieux que ce « Sénégalais de ventre et Parisien de cœur » aurait pu s’attaquer aux grandes figures de la Négritude. Le mouvement littéraire, né de la rencontre entre Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor, aidé du poète guyanais Léon-Gontran Damas, prône la grandeur de l’histoire et de la civilisation noire dévalorisées par le monde occidental. « Négritude », un terme forgé en 1934 par Aimé Césaire : « la Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture » (numéro 3 de la revue L’Etudiant Noir).
De Guy Tirolien à Birago Diop, en passant par Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor, le « griot du béton » revisite, à sa manière, des écrits représentatifs de la pensée noire, placés sous le signe de la révolte. Amadou Gaye revendique avec force cette « révolte qui reste digne ». D’un personnage à l’autre, le comédien parvient à créer une atmosphère captivante, baignée par le souffle du vent, le chant des rameurs, le bruit des chaînes et la prière d’un enfant. Il manie ainsi avec émotion la musicalité de ces poésies. Tantôt méditatif, tantôt tonitruant, il transmet une rage mêlée de douceur, une mélancolie teintée de nostalgie. Le public est sous le charme, comme envoûté. Malgré la violence de certains textes tels que « le chant pour tuer un serpent » de Nicolas Guillen ou « et les chiens se taisaient » d’Aimé Césaire, l’auditoire est conquis. « Debout ! Joseph ! » de Gilbert Gratiant symbolise notamment la soumission face à l’homme blanc. L’expression de cette âme écorchée vive, et pourtant empreinte de fierté, est caractérisée par « Ghetto » de Guy Tirolien. La veuve de l’écrivain s’est d’ailleurs déclarée enchantée de la performance du comédien.
Le succès du spectacle est avant tout le succès de deux hommes. La réussite de « Négritudes » est issue de la complicité d’Amadou Gaye et de Gabriel Debray. Plus qu’une rencontre, une « osmose » selon le metteur en scène. Les deux hommes, après plusieurs mois de travail acharné, parviennent à exprimer, par les mots, le corps et la voix si particulière d’Amadou Gaye, les valeurs qui les unissent : « l’universalité et la fraternité ».
Le comédien aux multiples facettes nous explique cette redécouverte des couleurs du pays, du souffle des ancêtres et de la colère contre les ravages de l’homme blanc :
Rencontre avec Amadou Gaye
Quelle est l'origine de ce spectacle ?
C’est une rencontre entre Gabriel, le metteur en scène, et moi. J’étais invité au Printemps des Poètes au Local, pour dire des poèmes et ça a plu à Gabriel qui adore également ces poèmes. Ce sont des textes que j’aime beaucoup, qui m’ont suivi dans ma jeunesse. Je cherchais une façon de me les approprier. C’est avant tout une très belle littérature. Même si certains disent que ces auteurs sont dépassés. Pourtant on ne dit pas que Racine ou Corneille sont dépassés. Je suis acteur. C’est donc une mission de travailler ces poèmes et de les transmettre. Il y a une musique dans ces poèmes. Ecrits dans les années 50-60, ils ont baigné dans l’oralité. Gabriel a compris et a su percevoir leur universalité. Il a construit la dramaturgie mais il a respecté ma façon de travailler. Et l’aventure a démarré….
Quels sont les thèmes qui ont déterminé le choix des poèmes ?
Gabriel et moi avons des valeurs en commun. Le choix des poèmes s’est fait le plus naturellement possible. Gabriel a créé une histoire qui tient la route, qui fait voyager. Il y a de la révolte contre les méfaits de l’homme blanc. Mais c’est une révolte toujours digne, avec une ouverture vers l’universel et la fraternité. Les gens se sont souvent emparés de ces poèmes dans une visée politique. Alors que c’est une dimension littéraire et humaine qui en ressort. C’est une balade où on découvre l’esclavage et la rébellion mais également l’animisme africain et le respect de la nature comme dans Birago Diop.
Comment avez-vous ressenti l’accueil du public ?
Durant les douze représentations, c’était magnifique ! J’ai ressenti un très bel accueil et une qualité d’écoute formidable. Il y avait un public varié, d’abord public de quartier puis ça s’est étendu. Il y avait d’ailleurs beaucoup de jeunes, même des enfants, et surtout beaucoup de femmes. Je ne sais pas pourquoi (rires). Les spectateurs, en sortant, me disaient que le spectacle leur avait fait du bien.
Quels sont vos projets ?
Je suis content. Il y a plusieurs projets pour faire tourner le spectacle et le faire découvrir, notamment à Marie-Galante, en Guadeloupe, lors d’un festival grâce à Mme Guy Tirolien. Mais vu l’accueil du public, nous espérons faire tourner « Négritudes » le plus possible.
Afin de mieux vous découvrir, comment vous définiriez vous en tant qu’artiste ?
Je suis photographe et comédien. Mes deux métiers vont ensemble. Comme de l’oxygène, j’ai besoin de ces deux métiers pour m’épanouir. La démarche du photographe et celle du comédien sont similaires. Je suis quelqu’un qui exprime des envies fortes à travers deux passions : la photographie et le théâtre. Je ne me prends pas du tout au sérieux, tout en prenant très au sérieux mon travail et mes passions.
Négritudes,
balade poétique
Avec Amadou Gaye, comédien
Mise en scène par Gabriel Debray
Lumières de Jacques Boüault
vendredi 08 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
les gitans du Rajasthan, de passage à Paris, nous offre un concert exeptionnel avec 7 musiciens et danseurs Hindous.
Cette musique est née dans un petit village du nord-ouest de l'Inde nommé Kerap.
Ici la musique se fait en famille et ce, depuis plus de 7 générations, immuable et éternelle comme le désert qui borde cette région du Rajasthan.
Cette musique s'appelle MARWARI, du nom des habitants de cette région : les Marwars.
La rigueur du climat en a fait des musiciens à toute épreuve.
Avec l'ouverture des frontières, tels des troubadours, ils se font les apôtres d'une musique authentique, raffinée et hautement spirituelle.
Au carrefour du Soufisme, de l'Hindouisme et du folklore, ces gardiens du temple chantent la gloire d'Allah ou les amours de Khrisna depuis des siècles... Et le temps s'arrête.
Une gitane miroitante et multicolore, la danseuse Kalbélia, virevolte et nous montre que la grâce et la beauté des déesses n'existe pas que dans les rêves les plus fous des hommes : tel le cobra, elle hypnotise son public. !danger!
Nous chavirons avec elle mais le rythme endiablé du Dholak (percussion indienne) se fait plus fort et nous ramène à la réalité.
Alors le chant vibrant et mélodieux de Bilal Khan déchire l'espace et son âme semble nous questionner : Amour de Dieu ou amour profane ?
A son tour l'Harmonium soutient la mélodie et repose la question : oui, mais quel amour ? Celui de cette bien-aimée, si belle, si loin, ou celui encore plus fusionnel et absolu des dieux ?
La transe mystique s'installe, les tablas et les kartals redoublent d'intensité.
La gitane s'envole, la spiritualité et la sensualité s'épousent en un long baiser.
Oui, les dieux existent et quand ils descendent sur terre, ils s'arrêtent souvent à Kerap.
http://www.kerap.net
samedi 09 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 1 euro minimum
Akalé est un groupe flambant neuf qui s'est donné pour mission d'explorer les trésors du jazz-groove éthiopien des années 60/70
PAUL BOUCLIER : trompette, mélodica, percussions - ETIENNE DE LA SAYETTE : sax ténor, flûtes - LOIC RECHARD : guitare - OLIVER DEGABRIELE : basse électrique - DAVID GEORGELET : batterie
mardi 12 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
OXID quintett
Alexandre HERER : Rhodes Olivier LAISNEY : Trompette Julien PONTVIANNE : Saxophone Matteo BORTONE : Basse et Contrebasse Thibaut PERRIARD : Batterie http://www.myspace.com/oxydquintet
mercredi 13 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 1 euro
PAKARE jazz-zouké
Christian Sabas bass, guitar, percussions and vocal - Olivier Floro, drums, vocal and percussions - Philippe Perrier, Saxophones, flutes and sound - Bruno Couturier, Keyboards )
jeudi 14 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5€
CARTEL CARNAGE + PING MACHINE
PING MACHINE en résidence à l'olympic invite CARTEL CARNAGE
jeudi 14 mai 2009 - 19H30 - Entrée: 5 euro
NEGRITUDES par Amadou Gaye....le griot du béton!!
De Guy Tirolien à Birago Diop, en passant par Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor, le « griot du béton » revisite, à sa manière, des écrits représentatifs de la pensée noire, placés sous le signe de la révolte. Tous les jeudi (relâche le 21 mai)
vendredi 15 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 1euro minimum
ALMA + invités (Reggae, Dub & Salsa)
ALMA : Salsa reggae chaude et furieusement dansante enrichie d‚effets dub, & Rock steady décoiffant!
samedi 16 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 1€ minimum
LE GROS TUBE : Fanfaradonf!
Une fanfare Funk Jazz tout terrain loin des idées préconçues, 7 musiciens qui adorent jouer en toute situation, et surtout une musique festive qui vous fera danser jusqu'à plus soif! !
mardi 19 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
COLLECTIF COAX : Q + TA MAMAN+invité surprise
Influencés par le rock, la musique improvisée, la musique contemporaine le jazz et la soupe populaire ils se lancent dans de bouillantes émulations sonores et visuelles tantôt calmes et bruitiste, énergiques et rythmiques, loufoques ou parfois même burles
mercredi 20 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
BADEMBA: la famille blues mandingue
avec Abdulaye Traoré
jeudi 21 mai 2009 - 20h30 - Entrée:
Oussen & 13K Hip-Hop
Dénués de toute revendication communautaire, si Oussen & 13'K représentent quelque chose, c'est le message mythique d'Afrika Bambaataa et de sa Zulu Nation "Peace, Love & Unity".
samedi 23 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5€
BLACK PYRAMIDE Afro groove
Babacar FAYE – Chant danse percussions, Ignace FOFANA – Basse Tapha N’DIAYE – Batterie & calebasse, Olivier – Guitare, Mickaël BOURGON – Saxophones, Ibrahima GUEYE – Percussions, Fatou - Choeurs
mardi 26 mai 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
BAL POURRI + invités
quartet sous la direction de Yoram Rosilio: Yoram Rosilio - Contrebasse Makoto- Batterie Jean Philipe Saoul - électronique Benoit guenoun - saxophone
jeudi 28 mai 2009 - 19H30 - Entrée: 5 euro
NEGRITUDES par Amadou Gaye....le griot du béton!!
De Guy Tirolien à Birago Diop, en passant par Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor, le « griot du béton » revisite, à sa manière, des écrits représentatifs de la pensée noire, placés sous le signe de la révolte.
vendredi 29 mai 2009 - 20h30 - - Entrée: 5 euro
ROGER KOM PETER BETCHANGO MICHEL KASS Brass-band afro beat
DE L'EAU POUR LES ENFANTS DE SOMPEREKOU(benin) les bénéfices seront versés à SOMPEKIDS,association humanitaire oeuvrant pour les enfants et les villages de somperekou
mercredi 03 juin 2009 - 20h30 - Entrée: 1 euro
JOURNAL INTIME jazz débridé + LES FAUX FRERES fanfare
avec Sylvain Bardiau : Trompette / Mathias Malher : Trombone / Frédéric Gastard : Saxophones Des orchestrations aussi ourlées que débridées pour les souffles joyeux de trois garcons sexy, exubérants et raffinés!
mardi 09 juin 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
TILBOL & MASAKO HAMAMURA + MORY SHIGE & HUGUES VINCENT
1er set: duo de violoncelle Mory Shige/ Hugues Vincent musique improvisée bruitiste acoustique 2em set: Tilbol + masako hamamura http://www.myspace.com/tilbol
jeudi 11 juin 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
PING MACHINE treizette + GC QUARTET
Ping Machine, c'est l'énergie de treize musiciens liés dans un même souffle constitué de compositions écrites et orchestrées pour cette formation par Fred Maurin. En premiere partie GC QUARTET
mercredi 17 juin 2009 - 20H30 - Entrée: 5 euro
KUMKAT
Le groupe Kumquat, formé à l’initiative du guitariste Sylvain Choinier il y a quelques cinq ans maintenant, à chaque concert avance avec cette idée, obstinément tendue à l’auditeur et à lui-même, que l’émotion sonore se trouve là, chose palpable et sensue
vendredi 19 juin 2009 - 20h30 - Entrée: 1euro minimum
ALMA + invités (Reggae, Dub & Salsa)
Salsa reggae chaude et furieusement dansante enrichie d'effets dub & Rock steady décoiffant!
mardi 23 juin 2009 - 20h30 - Entrée: 5 euro
OXID QUINTET jazz
Alexandre HERER : Rhodes Olivier LAISNEY : Trompette Julien PONTVIANNE : Saxophone Matteo BORTONE : Basse et Contrebasse Thibaut PERRIARD : Batterie